Divers

La semaine du néant et notre routine au travail

C’est la semaine du néant!

Après les vacances, à CHAQUE année, on oublie que la dernière semaine d’août est la semaine du néant.

Parce que les camps de vacances sont terminés. Parce que l’école n’est pas encore recommencée.

Où sont nos enfants? Avec nous, à la maison! Malgré le travail qui s’accumule, nous devenons bien malgré nous des moniteurs de camps de vacances. Tout compte fait, elle pourrait aussi s’appeler la semaine du chaos.

Cette semaine, mon bureau est au milieu d’un espace de gaming. Bruits de fond de ROBLOX pendant les appels. Gestion des collations et des «J’ai faim maman, qu’est-ce qu’on mange ?» à toute heure de la journée. Bref, un regroupement de situations incontrôlables que je dois avouer avoir redouté trop souvent.

Au fil des années, j’ai improvisé quelques trucs pour survivre à mon chaos et mieux structurer la semaine.

Mes astuces:  

1-   Je me lève très tôt : ça signifie une heure ou deux de tranquillité avant le réveil des enfants. C’est pratique pour prendre de l’avance dans les dossiers.

2-   Je rends les corvées des enfants (oui, mes enfants ont des corvées, quelle mère indigne!) obligatoires avant de toucher à la console de jeu. Vous le comprendrez, mes garçons prennent donc leur temps pour déjeuner parce qu’aucun enfant ne court pour aller faire ses corvées…

3-   Je me planifie des dossiers/rencontres où j’ai besoin de beaucoup de concentration/tranquillité près de l’heure du dîner. Je vous entends me dire, je ne la comprends pas celle-là. Je prépare les assiettes-repas d’avance pour les enfants. Pendant qu’ils dînent, mon espace bureau redevient soudainement tranquille pour une bonne heure.

4-   En après-midi, c’est le temps extérieur obligatoire que j’impose à mes enfants (si on veut limiter un peu le temps d’écran). Là aussi, je gagne du temps de tranquillité fort apprécié.

Avec la semaine du néant, nous devons tous faire un deuil : changer notre routine ou accepter que nous sommes tous moins productifs. Lâchons prise…

Et vous, je suis curieuse d’entendre tous les parents de mon réseau, quels sont vos trucs pour y survivre?

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